mardi 15 décembre 2009

Notre cercle de partage et de ressourcement


Le groupe de ressourcement en Focusing et autres Processus de l’Attention Inter Humaine (PAIH) poursuit son développement. Il en sera à sa quatrième rencontre le 20 décembre. La rencontre du mois de novembre a été déplacée du 15 au 22 novembre à cause de la semaine de Certification de l’Institut de Focusing à laquelle participaient trois personnes de notre groupe à Stony Point. Le déplacement de cette rencontre nous a déstabilisé et nous nous somme retrouvées à deux personnes seulement pour la rencontre.

Cette situation nous a permis de clarifier quelques aspects de notre mode de fonctionnement que nous allons proposer en tant que nouvelles balises.

Le groupe de ressourcement pourrait commencer son fonctionnement lorsqu’il y a au moins trois participants. Lorsqu’il n’y a que deux personnes, elles pourront décider entre elles si elles veulent faire un échange ou partager une forme d’écoute quelconque ou simplement se rencontrer pour parler. Il n’y aura pas de coût associé pour le partage à deux.

Nous avons fait à deux un échange de Focusing incluant une pratique et une intégration de l’approche du «Domain Focusing» enseignée par Robert Lee.

Plusieurs éléments rapportés de notre expérience de la semaine de certification seront intégrés dans nos explorations de groupe dans les prochains mois. Notons en particulier les modèles proposés par Beatrice Blake pour l’intégration du Focusing et de la CNV.

Un million de cercles

J’ai découvert, par le biais de la liste de discussion de l’Institut de Focusing, un site Web qui regroupe et fait la promotion de la pratique des cercles de partage partout dans le monde. L’organisation a été fondée aux États-unis par un groupe de femmes croyant en la puissance du cercle de partage comme force de changement au niveau mondial. Le cercle est un outil de connexion et de coopération procurant un support à chacun de ses membres dans la recherche de sa propre voie tout en permettant la création d’une culture de l’égalité entre les personnes et entre les communautés.

La connexion entre les différents cercles de partage dans le monde permet de réaliser que nous faisons partie d’un vaste mouvement d’élargissement de la conscience.

Les indications qui sont données sur ce site pour la formation d’un cercle sont simples et facilement adaptables à toute forme de cercle.

Tout ce qui est requis en fait pour participer à un cercle est le désir de s’y rendre en étant en accord avec son principe de fonctionnement. Les cercles sont formés de manière autonome et chaque cercle détermine son propre mode de fonctionnement et ses propres balises.

Certaines indications de base pouvant aider au maintien du cercle sont toutefois présentées sur le site. Ces indications ont aidé plusieurs cercles à se développer d’une manière harmonieuse. Je vous présente les balises du cercle de partage dans un article distinct.

Les balises du cercle de partage



  • Créer un cercle

  • Considérer ce cercle comme un espace sacré

  • Une seule personne à la fois s’exprime dans le cercle

  • Chacun parle et écoute à partir du cœur

  • La diversité des points de vue est encouragée et accueillie

  • L’écoute se fait avec discernement et sans jugement

  • Les ressources et l’animation sont partagées

  • Le groupe s’entend sur la manière de prendre les décisions

  • L’intention du groupe est de tendre vers le consensus pour ce qui concerne le mode de fonctionnement du groupe

  • Chacun parle à partir de sa propre expérience en évitant de donner des conseils aux autres

  • Lorsque le besoin s’en fait sentir ou en période de questionnement intense, proposer une pause et un retour à soi pour chaque participant qui retrouvera ainsi sa propre direction

  • Les règles de confidentialité sont décidées et acceptées par le groupe et par chacun de ses membres

  • Il est suggéré d’ouvrir et de fermer le cercle par un tour de parole permettant à chacun d’exprimer ce avec quoi il arrive au groupe et ce avec quoi il en repart

Plusieurs de ses balises peuvent ouvrir sur la création de modèles intégrant la pratique du Focusing et autres processus de l'Attention Inter Humaine (PAIH). Notons en particulier la pratique de la pause qui rejoint la pause révolutionnaire pratiquée dans nos groupes et la parole et l'écoute «à partir du coeur» qui encouragent l'intériorité dans la relation à soi et à l'autre.

mardi 3 novembre 2009

Se définir et expérimenter


Le groupe de ressourcement tente de se définir. Les 6 personnes présentes lors de la 2e rencontre (18 octobre) ont exprimés différents désirs et besoins.


  • Pour certains participants, c'est d'abord et avant tout la création d'un espace circonscrit dans un temps prévu à l'avance et dans un lieu propice à l'intériorisation qui prime. Ils viennent pour se donner un temps de présence à soi et à l'autre et sont ouverts à l'exploration de différents modèles.

  • Une participante, ayant expérimenté les groupes d'empathie issus de la CNV (communication non violente), a exprimé le désir d'introduire dans notre groupe quelque chose de ce modèle. Lorsqu'une personne souhaite explorer une problématique particulière liée à sa vie, le groupe tout entier lui offre alors un espace d'écoute (voir élaboration du modèle ci-après).

  • Une autre personne du groupe a mentionné son intérêt à participer à ce genre de groupe par le fait qu'il s'y crée généralement un climat de solidarité. Les personnes qui participent au groupe de manière régulière cheminent ensemble et finissent par connaître les enjeux de chaque personne du groupe et la manière dont elle y fait face.

  • L'importance du processus intérieur est reconnu par chaque personne du groupe. Il n'est toutefois pas nécessaire que ce processus intérieur soit essentiellement le Focusing.

Le temps passé ensemble nous a permis, en plus d'échanger sur le mode de fonctionnement du groupe, de faire un processus d'écoute intérieure à partir du modèle de la «maison d'accueil». Le processus a été lu par une des participantes, chacun a pu reconnaître ses invités et apprendre à mieux les connaître. Un partage a été fait à partir de ce qui a émergé pour chaque personne du groupe.


Dans un deuxième temps, le groupe a choisi d'offrir un espace d'écoute à une personne selon le modèle suggéré issu des groupes d'empathie de la CNV. Nous allons nommer ce modèle : La matrice d'écoute. La personne, étant en charge de son processus, exprime ses besoins au niveau des interventions. Une personne peut ainsi avoir besoin d'écoute silencieuse, de reflets, ou de reformulation. Elle peut également accepter l'utilisation de questions de type expérientiel (questions qui aident la personne à rester avec son expérience). Les interventions peuvent provenir de l'ensemble des membres ou de seulement certains d'entre eux, mais tous sont «écoutants» créant ainsi une matrice de sécurité et d'unité. La session d'écoute se déroule dans une période de temps fixée à l'avance par l'ensemble du groupe. La personne en processus peut, lorsqu'elle connaît le Focusing, utiliser cet outil.


La 3e rencontre, qui devait avoir lieu le 15 novembre est reportée d'une semaine, soit le 22 novembre car deux personnes du groupe vont à Stony Point pour la certification en Focusing.

L'esprit communautaire


Le mouvement vers l'esprit communautaire (MEC) est un regroupement de personnes qui apprennent l'esprit communautaire, le vivent et en témoignent, et contribuent ainsi à bâtir des milieux de vie où règnent le respect, la paix et l'harmonie.


Je participe depuis quelques mois aux activités du Mouvement pour le développement de l'Esprit de Communauté(MEC).Je dois dire que j'y ai rencontré des gens fort intéressants et qui ont quelque chose à m'apprendre. Je pense en particulier à Margaret Mac Cormack et à Thierry Roger. Margaret est, en ce moment, notre facilitatrice lors des rencontres de continuité et Thierry supporte l'organisation du MEC par son travail bénévole et par la publication de documents d'information en anglais et en français.Il a publié récemment un document intitulé Communitas et qui relate sa propre expérience du développement de l'esprit de communauté tout en donnant une information de base très intéressante sur le modèle créé par Scott Peck et dont découle l'organisation actuelle du MEC.

Le MEC existe au Québec depuis le début des années 1990 et plusieurs de ses membres ont été formés par le FCE (Foundation for Community Encouragement) initié par Scott Peck. L'organisation a été incorporée en 1997 en tant qu'organisme à but non lucratif. Dans le bulletin lettraMEC publié en 2004, on retrouve le compte rendu d'une importante réunion d'orientation dont les facilitatrices étaient Gina Censiose et Margaret Mac Cormack et à laquelle 19 personnes ont participées. Dans le mot de bienvenue de cette rencontre, Pierre Barbès, président, partage l'essence de sa démarche dans le cercle de continuité de la communauté:

Quand je nomme, en vous les partageant dans le cercle, les désirs, les attentes,les aspirations de mon coeur, parfois dans l'ordre et le désordre, souvant contradictoires, je nomme ce qui en moi est en attente d'unification. Je suis sur le chemin de l'unité de mon être, et de l'unité avec chacun/e de vous ici.

J'ai trouvé, dans le MEC un véritable réseau de soutien dans mes efforts pour créer un esprit de communauté dans l'organisation du Focusing et dans celle du Hakomi. C'est pourquoi je n'hésite pas à vous inviter à participer à au moins un atelier. En participant à un seul ADEC (atelier de développement de l'esprit communautaire), il est possible ensuite de rester en lien avec le groupe et de participer (sans frais) à toutes les rencontres de continuité.

Il est aussi important de noter que le coût de l'atelier est très raisonnable et qu'il est possible, selon la philosophie du MEC, d'obtenir un soutien financier pour y participer.

lundi 12 octobre 2009

La justice réparatrice


La justice réparatrice existe depuis plusieurs années dans le système correctionnel canadien. Elle incite les victimes, les délinquants et les membres de la collectivité touchés par la perpétration d'un crime à élaborer ensemble des solutions pour redresser le préjudice et restaurer l'harmonie.

La semaine de la justice réparatrice se déroulera du 15 au 22 novembre 2009. Des ateliers expérientiels ont été conçus pour être utilisés librement par les groupes confessionnels afin de permettre aux gens de mieux connaître les principes de justice réparatrice. Le premier atelier a été publié lors de la semaine de la justice réparatrice 2008 et un deuxième atelier est maintenant en ligne pour la semaine 2009.

De plus en plus d’établissements d’enseignement et de groupes sociaux s’intéressent à la justice réparatrice et considèrent que cette approche peut leur être utile pour régler des conflits et pour lutter contre l’intimidation entre étudiants ou toute autre forme d'agression entres individus.

Au Québec, des cercles restaurateurs en lien avec les principes de la CNV commencent à s'élaborer. Les cercles restaurateurs sont définis comme étant: «une réponse communautaire au conflit». Un cercle restaurateur peut être demandé et tenu concernant tout évènement ayant porté atteinte au bien-être de quelqu'un.

jeudi 8 octobre 2009

La maison d'accueil

Ce processus tout simple est basé sur la démarche d’Auto-Focusing d’Ann Weiser Cornell. Il est couramment utilisé en Afghanistan, dans les groupes de ressourcement initiés par Pat Omidian et Nina Joy Laurence selon le modèle du «community wellness Focusing». Dans ces groupes, le travail intérieur débute toujours par un balayage corporel. Une personne du groupe lit les étapes du processus. Chacun reconnait ses invités, les accueille et passe quelque temps à les ressentir et à les écouter puis les gens reviennent au groupe.

Il s’agit d’une sorte de reconnaissance de ce qui est présent en chacun plutôt que d’un processus formel de Focusing. Mais le processus peut être complété par un temps d'écoute et de partage sans qu'il soit nécessaire de donner les détails des situations portées par la personne.

Voici le processus simplifié:

1. Entrer à l’intérieur
2. Dire bonjour
3. Approfondir
4. Revenir


1. Entrer à l'intérieur, remarquer la présence d’invités

J’entre à l’intérieur
Je prends le temps d’être ici et maintenant dans un espace sécuritaire
Je ressens mon corps de l’extérieur et de l’intérieur
J’accueille mes invités et je leur permets de me laisser savoir qu’ils sont là
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2. Dire bonjour

Je remarque une présence…
Je dis bonjour à cet invité…
Je trouve la meilleure manière de décrire comment il est en moi, dans mon corps…
Je vérifie la description avec mon corps…
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3. Approfondir, apprendre à mieux connaître mes invités

Si ça me semble juste, je m’assoie avec mes invités pour mieux les connaître
Je ressens comment se sentent mes invités de leur propre point de vue…
J’en ressens l’humeur ou l’émotion…
Je laisse savoir à chacun que je l’entends…
Je l’invite à m’en apprendre un peu plus…
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4. Revenir

Je vois avec mes invités si nous approchons d’un moment propice à terminer
Je laisse savoir que je reste disponible et que je reviendrai…
Je remercie mon corps et chacun de mes invités
Je me prépare à revenir de l’intérieur vers ma présence ici

Le processus de la maison d'accueil a été utilisé à la rencontre du 20 septembre et il sera intégré à nos pratiques courantes. Chacun des membres du groupe pourra en faire la lecture à un moment ou à un autre et introduire ce processus dans toute forme de regroupement auxquel il participe lorsqu'il en aura l'occasion.

Si vous faites l'essai de ce processus dans un groupe, j'aimerais que vous m'écriviez un commentaire sur son utilisation et les résultats de votre expérience.

La pause révolutionaire

La pause révolutionaire consiste simplement à proposer, dans un groupe, un moment de silence à partager ensemble. Dans l'espace dont nous disposons, il est possible de s'allonger, de prendre des coussins ou une couverture. Notre temps de silence a été de 10 minutes, ce qui est un long moment pour partager du silence en groupe.

Ce temps peut varier selon les circonstances et être précédé d'une centration guidée invitant les gens à se déposer et à prendre contact avec le moment présent en ressentant leur présence et celle des autres.

Cette pratique du silence en groupe peut être introduite dans toute forme de réunion de personnes: classe, réunion familiale, comités et réunions. Elle peut être proposée à différents moments par toute personne faisant partie du groupe et devenir une pratique courante.

Si vous faites l'essai de ce processus dans un groupe, n'hésitez pas à nous faire part de votre expérience et de ses résultats.

dimanche 4 octobre 2009

Ajouter des rédacteurs au blog


Le blog des relations humaines est en évolution constante. Un nouveau groupe de ressourcement vient de débuter et l'évolution de ce groupe pourra être suivie sur ce blog sous la rubrique: groupe de ressourcement.

Le blog des relations humaines reste ouvert à d'autres types d'expériences et à d'autres rédacteurs. Si vous lisez ce blog et que vous avez le goût de partager une expérience vécue en groupe (ou toute expérience relationnelle) et d'en recevoir le feedback des lecteurs, je vous invite à communiquer avec moi. Je me ferai un plaisir de vous inscrire en tant que rédacteur du blog.

Pour ma part, j'aime bien cette convivialité de l'expérience où chacun peut apporter un aspect différent des processus de groupe et de l'expérience sociale ou intime (amitié, couple, famille, etc.).

Pause et acceuil


La première rencontre du groupe de ressourcement s'est faite en toute intimité. Nous n'étions que quatre.

Un des premiers buts du groupe de ressourcement est que chacun puisse explorer son monde intérieur sans être seul. Afin de faciliter cette attention aux processus internes, nous proposons la relaxation, le dégagement d'espace ou autre forme de centration, le silence, le Focusing et le partage.

Selon Mary Hendricks, le Focusing est une force de paix qui libère les gens du cadre trop restreint des modèles établis, des rôles culturels et des idéologies. Cette libération s'effectue en faisant une pause par rapport aux situations vécues et en créant un espace qui permet la formation d'un sens corporel d'où proviendront de nouvelles étapes d'action. Le groupe de ressourcement propose l'exploration de différents outils qui permettront éventuellement d'introduire, dans le tissu social, des moments d'attention à soi et à la situation vécue au moment présent.

Les outils explorés lors de cette rencontre sont:


Ces deux outils sont décrits dans des articles séparés.

jeudi 3 septembre 2009

Groupe de ressourcement


Le groupe de ressourcement est un modèle issu de la pratique du Focusing. Eugene T. Gendlin avait déjà initié, dès le début des années 60, alors qu'il enseignait à l'Université de Chicago, la formation d'un groupe ayant pour but le ressourcement entre pairs.

Dans un groupe de ressourcement, il n'y a pas de spécialiste et les habiletés d'écoute et de Focusing (processus intérieur) sont pratiquées par tous. Chaque personne offre de l'écoute et chaque personne en reçoit.

Voici la réflexion publiée en 1968 et à partir de laquelle le premier groupe de ressourcement a vu le jour:

«Si chacun a besoin de relation intime et si chacun souhaite avoir quelqu'un qui soit disponible pour l'écouter lorsqu'il a besoin de travailler une situation qui manque de clarté, pourquoi alors ne pas construire des rôles et des temps à même le tissu social?»

Des groupes, inspirés de ce modèle, existent aujourd'hui un peu partout dans le monde. Chaque groupe défini ses propres règles et son propre mode de fonctionnement.

Selon Gendlin, le Focusing est un dialogue entre la pensée et le corps. Ce dialogue a besoin d'être porté et soutenu et il est plus facile d'y parvenir en étant accompagné par une personne dont le rôle est précisément de «porter» et «soutenir» le processus intérieur sans y interférer. Le groupe de ressourcement crée un climat propice à cet acte d'écoute de soi.

Le groupe de ressourcement se tiendra au 2275 Prieur Est, dans le quartier Ahuntsic à Montréal, le 3e dimanche de chaque mois en après-midi. Il débute le 20 septembre 2009 à 13H30. Veuillez nous contacter par courriel (Solange St-Pierre) pour plus d'information. Une contribution de $15,00 par personne est suggérée et il est possible de compléter les apprentissages de ce groupe par une formation de base en Focusing qui aura lieu au même endroit en avant midi.

samedi 25 juillet 2009

Ça n'a pas d'importance


Aujourd’hui, j’ai le goût de vous transmettre un texte de mère Teresa de Calcutta.

On peut dire que cette femme exceptionnelle a fait elle-même l’objet de nombreuses controverses, entre autre par ses positions contre l’avortement et la contraception et par ses liens présumés avec certaines personnalités controversées.

Mère Teresa était-elle en lien avec la droite réactionnaire? C’est ce qu’affirme Christopher Hitchens dans un livre publié en 1996.

Je salue toutefois le dynamisme et le courage de cette femme qui n’avait pas peur d’aller au bout de ses convictions. Je salue également sa persévérance et son don pour l’organisation et pour la création de communautés.

Mère Teresa a reçu le prix Nobel de la paix en 1979 et elle a été béatifiée en 2003. Voici son message :



Ça n’a pas d’importance


«L’être humain est insensé, illogique, égocentrique.
Ça n’a pas d’importance, aime-le!

Si tu fais le bien, on t’attribuera peut-être des intentions égoïstes.
Ça n’a pas d’importance, fais-le!

Si tu réalises tes objectifs, tu trouveras de faux amis et de vrais ennemis.
Ça n’a pas d’importance, réalise-les!

Le bien que tu fais sera peut-être oublié dès demain.
Ça n’a pas d’importance, fais-le!

L’honnêteté et la sincérité te rendent vulnérable.
Ça n’a pas d’importance, sois sincère et honnête!

Ce que tu as mis des années à construire pourra être détruit en un instant.
Ça n’a pas d’importance, construits!

Si tu aides les gens, ils se fâcheront peut-être contre toi.
Ça n’a pas d’importance, aides-les!

Donne au monde le meilleur de toi-même en sachant qu’il te maltraitera peut-être.
Ça n’a pas d’importance, donnes-le quand même!»

samedi 16 mai 2009

Travailler pour le changement

J'ai inscrit le blog des relations humaines à cette nouvelle organisation qui travaille pour le changement social et dont voici la mission (traduction d'un texte publié sur le site change.org)

''Travailler pour le changement'' est un mouvement en cours de lancement, dans un moment de crise mais aussi de grandes de possibilités. La crise que nous rencontrons est enracinée non seulement dans notre économie défaillante, mais aussi dans notre incapacité à affronter de grands défis, tels ceux de l'éducation et des soins de santé. Dans le même temps, le président Obama inspire un regain d'intérêt pour le service public, en fournissant une occasion historique de mobiliser les gens à résoudre certains problèmes ignorés depuis trop longtemps. La mission du mouvement ''travailler pour le changement'' est de tirer pleinement profit de cette occasion en recrutant une nouvelle génération de dirigeants en provenance des organismes à but non lucratif, du gouvernement et des secteurs sociaux.

Nous croyons que:

• Les gens constituent le facteur le plus important dans la promotion du changement social. Pour répondre aux problèmes sociaux et environnementaux auxquels nous sommes confrontés, nous avons besoin d'attirer un large éventail de personnes et de dirigeants parmi les plus prometteurs à travers le pays afin de travailler sur des questions locales et de portée mondiale.

• Afin d'attirer ces personnes, nous avons besoin de renforcer le secteur social dans sa capacité à recruter, développer et retenir les talents. Trop de gens intéressés par une carrière dans le service ne poursuivent pas leur implication dans ce secteur en raison d'une série d'obstacles parmi lesquels on retrouve des perceptions erronées concernant le travail et la rémunération, le manque d'information concernant la manière de faire les premiers pas ou encore le manque de recrutement de ressources dû aux faibles budgets des organisations. Nous nous devons d’aborder ces questions.

• Les entreprises qui innovent devraient se joindre en tant que partenaires aux organismes à but non lucratif et au gouvernement dans la poursuite du développement social. L'un des mouvements les plus prometteurs du changement social est l'utilisation des entreprises en tant que véhicules pour l’avancement de la communauté. Nous croyons que l'expansion du secteur des entreprises sociales doit être accueillie et encouragée. Le moment actuel nous offre un incroyable potentiel. Si nous exploitons ensemble ce regain d'intérêt dans le service public en recrutant et en développant la prochaine génération des leaders sociaux, nous pouvons surmonter les défis auxquels nous sommes confrontés et construire un avenir meilleur pour tous.

Si vous travaillez dans le domaine du service et du changement social, suivez le lien pour inscrire votre organisation à ce vaste mouvement.

vendredi 15 mai 2009

Bienvenue à bord


Pour Gendlin (voir le blog du Focusing pour mieux connaître Gendlin), les politiques d'une organisation concernent la manière dont les gens s'organisent entre eux. Tout groupe organisé, même une toute petite organisation, est une société en miniature. La question vitale de toute organisation est donc de savoir comment les gens peuvent s’organiser pour mieux vivre ensemble et pour être plus en mesure d’agir.

Les deux espaces que j'ai ouvert pour discuter des relations humaines et de la diffusion du Focusing, sont de petites organisations miniatures. Je crois que la création d'un espace où l'on peut s'exprimer fait partie de cet objectif de ''mieux vivre ensemble''. Je suis heureuse de voir augmenter le nombre d'abonnés des blogs et j'attends toujours que quelques uns d'entre vous manifestent un intérêt pour tenir une chronique ou explorer un nouveau sujet concernant les relations humaines.


À partir du moment ou quelques personnes s'ajouteront en tant que contributeurs, notre objectif de créer un groupe sera atteint. Quelles seront alors les règles de fonctionnement de notre groupe? Pour ma part j'aimerais qu'il y ait au moins une politiqe de respect du thème du blog. Le blog des relations humaines n'est pas un endroit pour échanger des recettes de cuisines ou vendre un produit quelconque. C'est une place pour parler de notre expérience en tant qu'être humain.


Si vous êtes, par exemple à un tournant de votre vie et que vous avez le goût de partager vos réflexions sur le sens de votre aventure, je suis intéressée à vous entendre. J'aimerais vous faire une place sur ce blog.


Pour ma part, je débuterai en septembre l'animation de Groupes de Ressourcement et c'est ici que le concept des ces groupes sera élaboré et que l'on pourra en suivre l'évolution. Le blog est donc toujours une histoire à suivre.
Bienvenue à bord!

jeudi 23 avril 2009

S'abonner à un blog


Depuis quelques dizaines d'années que l'outil existe, plusieurs sortes de blogs sont entrés en fonction et on peut s'y joindre de différentes façons. Il semble toutefois que la très grande majorité des blogs disparaissent aussi vite qu'ils naissent et que l'intérêt qu'ils suscitent soit concentré autour d'un faible pourcentage d'entre eux.

Créer un réseau autour d'un blog et lui insuffler la vie par la présence de différents acteurs est beaucoup plus complexe que le simple fait d'ouvrir un blog. Même si le Web est aujourd'hui de plus en plus fréquenté par des gens de tous horizons, il reste qu'une bonne partie des habitants de cette planète en sont encore au stade du ''b a ba'' en ce qui concerne son utilisation. Les jeunes, qui ont grandi avec cette culture, sont attirés par l'interactivité des sites de rencontre et de réseautage tandis que les personnes plus âgées ont encore une énorme réticence à l'idée de s'afficher sur le Web quelle qu'en soit la raison.

Ainsi, plusieurs personnes ayant reçu l'information des 3 blogs que j'ai créés dans un esprit de formation de communauté, sont passées faire un tour et sont reparties. Connaissant l'existence de ces blogs et étant susceptibles d'y revenir un jour, ces personnes font partie pour moi du réseau d'information sinon de la communauté. Certaines parmi elles ont peut-être inscrit le blog dans leurs favoris et y reviendront plus tard.

Je crois toutefois que le nombre d'abonnés continuera d'augmenter au fil des jours et des semaines parce que ces blogs existent en tant que support d'un réseau offrant toute une gamme d'activités. Plusieurs contributeurs viendront aussi s'ajouter, créant ainsi mouvement et diversité.

S'inscrire à un blog requiert quelques étapes que la majorité des gens arrivent à faire en tâtonnant et que vous n'avez peut-être pas envie de faire en ce moment. Il faut d'abord ouvrir un compte et y inscrire quelques renseignements, lesquels peuvent rester confidentiels si vous ne souhaitez pas partager votre profil.

Chaque blog public aura ainsi des abonnés silencieux, des non abonnés intéressés et curieux ou encore, des membres inscrits actifs a commenter les articles ou à en écrire.

Vos commentaires et réactions sont toujours les bienvenus et vous pouvez les faires en restant ''anonyme'' c'est à dire sans vous inscrire ni publier votre profil.

vendredi 10 avril 2009

Photos et images


Je ne sais pas si vous avez vu, au début d'avril, le reportage concernant un éventuel prolongement de la route 138, d'abord entre Natashquan et La Romaine et éventuellement ensuite jusqu'à Blanc Sablon. J'ai été particulièrement touchée par ce reportage parce que ma soeur enseigne à La Romaine depuis septembre 2008 et que j'apprends à connaître peu à peu cette petite communauté isolée sur la Côte Nord du Québec.
Je veux vous dire que la belle collection de photos que j'ai utilisée jusqu'à maintenant pour agrémeter mes articles sont, pour la plupart, des photos prises par ma soeur (Lise St-Pierre) à La Romaine et dans les environs. J'aime vraiment beaucoup ces photos qui me reconnectent avec la nature du Québec dans toute sa pureté.
J'ai aussi placé un diaporama sur le blog. Celui-là n'est pas constitué de photos exclusives. Je l'ai emprunté à la collection disponible sur Blogger. Quoi qu'il en soit, l'ajout d'images sur un blog rend le décors plus attrayant. Les étapes à suivre pour la publication de photos et d'images ne sont pas trop difficiles. Si vous utilisez votre collection personnelle (ce qui est toujours préférable), il vaut mieux toutefois en réduire le poids afin qu'il soit plus facile de les télécharger. Les photos de La Romaine, par exemple, étaient en haute résolution et j'ai dû les réduire afin de limiter le temps de chargement. J'ai fais cette étape avec Photoshop.
Un dernier détail très très important lorsque vous publiez une photo sur un blog est que vous ne pouvez pas mettre une photo d'une personne sans avoir son autorisation (même une photo de groupe). Alors allez-y pour votre chat ou votre oiseau ou munissez-vous d'une bonne collection personnelle représentant la nature ou la vie sous différentes formes... sans oublier de mettre au moins une bonne photo de vous pour que l'on sache à qui l'on parle... (J'ai ajouté ici un dessin d'enfant - école Marie-Sarah- La Romaine).

jeudi 9 avril 2009

Écrire un billet sur un blog


Le blog est un nouvel outil de communication mais je crois que l’on peut s’inspirer de ce que nous savons déjà de la communication pour y développer nos aptitudes un peu plus avant.

Lorsque j’écris un billet sur un blog public (ouvert à tous), je sais que je m’adresse à plusieurs types de lecteurs. Certains me connaissent déjà et connaissent aussi la raison d’être du blog, tandis que d’autres passeront par hasard, attirés par les sujets traités. Ils auront peut-être découvert cet espace de partage par le biais d’une recherche sur Google où ailleurs.

Le principe du groupe ouvert me plaît. J’aime savoir que des gens s’arrêteront en passant et qu’ils auront peut-être envie de s’attarder à mieux connaître notre groupe et à s’y faire connaître. Je fais la même chose lorsque j’anime des groupes d’échange; la porte reste ouverte pour l’accueil des nouvelles personnes.

Lorsque j’ai entrepris de former cette petite communauté ‘’bloggienne’’, les réactions ont été diverses parmi les gens de ma connaissance invités à s’y joindre. Je sens toujours, derrière les résistances, une certaine peur d’être vu et d’être exposé sans protection sur la ‘’place publique’’. L’enjeu de sécurité est important. Je sais par expérience que, lorsque je prends le risque d’exprimer ce que je ressens ou ce que je pense, il est tout à fait possible que mon point de vue dérange ou fasse réagir les gens. Je suis personnellement prête à prendre ce risque. Je crois que les réactions ‘’épidermiques’’ de certaines personnes font partie du processus. Je ne les cherche pas mais, lorsqu’elles se produisent, je suis prête à y faire face.

Prendre le risque de s’ouvrir apporte toujours, en bout de ligne, un résultat bienfaisant pour l’âme. Communiquer par l’écrit, que ce soit en écrivant un poème, un livre de fiction, un essai ou un billet sur un blog, c’est offrir au monde une proposition de rencontre. Les mots sont puissants. Ils sont porteurs de sens et peuvent toucher, rejoindre, apaiser ou faire vibrer et même guérir notre monde dans ses blessures et dans ses souffrances. Écrire c’est toujours faire entendre sa mélodie personnelle.

La communication par l’écrit dans un blog n’est pas très différente de celle qui se fait par la parole dans nos groupes de rencontre, que ce soit celui des beaux jeudis ou n’importe quelle autre forme de groupe axé sur l’écoute et le partage. Les gens prennent le risque de venir déposer, dans ces groupes, de petits morceaux de vie, des enjeux, des réflexions. Certains de nos participants sont plus réactifs que d’autres et ont la critique plus facile que le partage mais, dans l’ensemble, le climat reste harmonieux parce qu’il y a une majorité de participants qui sont sincèrement intéressés à savoir ce que pensent et ce que vivent les autres.

Permettre aux gens de se rencontrer est la raison ultime de la création d’une communauté, qu’elle soit virtuelle ou réelle. Mon seul et unique but en créant ce blog est de former une nouvelle communauté dans cet esprit de partage et de découverte.

Le blog fonctionne de telle sorte qu’il est possible d’y inviter plusieurs chroniqueurs. Dans un blog comme celui des relations humaines, chaque chroniqueur est en fait un ‘’animateur’’ ou un ‘’facilitateur’’ de processus. J’ai rencontré Thérèse Fortier hier à Trois-Rivières et elle a accepté de devenir chroniqueur pour le blog. Vous pourrez donc sous peu lire ses premiers billets. Si Thérèse peut le faire à 83 ans, je crois que d’autres peuvent y arriver aussi. J'invite ainsi toute personne faisant partie de notre groupe et qui serait intéressée à lancer un sujet de réflexion qui lui tiens à coeur à devenir, même si ce n'est que pour un tour, essayiste bloggueur.

Votre point de vue, vos réactions et vos commentaires sont toujours les bienvenus et contribueront, j’en suis certaine, à l’enrichissement de tous.

samedi 14 mars 2009

Publier un commentaire sur un blog


Publier un commentaire sur un blog c'est la même chose que de prendre la parole dans une discussion de groupe ou dans une réunion.

Parfois nous ne nous sentons pas suffisamment en sécurité pour oser prendre la parole. Parfois nous n'avons rien à dire parce que le sujet ne nous intéresse pas ou encore, parce que ce que nous avons à dire pourrait déranger certaines personnes et que nous voulons éviter la confrontation. Il y a fort à parier que toutes ces possibilités existent pour les lecteurs de ce blog.

Ceux qui connaissent déjà le groupe de discussion des beaux jeudis ou qui ont participé à d'autres groupes où les processus de l'Attention Inter Humaine sont enseignés et appliqués, savent toutefois qu'il y a une dimension très enrichissante et stimulante chaque fois que nous osons prendre la parole pour exprimer ce que nous ressentons.

Lorsque les conditions propices sont réunies dans un groupe, on constate qu'il y a un champ de résonnance qui s'ouvre et circule. Lorsque quelque chose est alors nommé à partir du ressenti d'une personne et que ce partage est reçu dans un climat de sécurité, cela amène une ouverture vers plus de profondeur d'échange pour l'ensemble des personnes présentes.

Nous souhaitons que le blog des relations humaines devienne cette place de sécurité où vous aurez envie de vous exprimer.

L'espace se construit peu à peu et continuera de se développer dans nos prochaines communications.

Bienvenue à Diane et à Thérèse, nouvelles personnes abonnées

mercredi 11 mars 2009

Les 7 degrés d'apprentissage du blog


Il est possible de créer une communauté autour d'un blog. Pour les personnes qui sont moins familières avec le WEB, les étapes leur permettant de participer activement à une communauté virtuelle ont besoin d'être apprivoisées une à une.

Voici, selon Thierry Barush (Blog professionnel, un outil d'échange et de communication), les étapes de formation à l'outil blog:

- Savoir déposer un commentaire
- Savoir publier un billet
- Savoir joindre une image, un lien ou un fichier à un billet
- Savoir s'abonner à un blog
- Savoir ajouter des rédacteurs pour créer un groupe
- Savoir administrer un blog
- Savoir éditer et modifier un blog

Parce que notre groupe en est à ces débuts et qu'il se compose de personnes se situant dans la catégorie des plus de 35 ans, catégorie qui est la plus faiblement représentée dans la blogosphère (8%), parce que plusieurs d'entre vous hésitent à se rendre visible sur la ''place publique'' et parce que je crois qu'une fois ces obstacles franchis, le plaisir sera au rendez-vous, je viendrai, au cours des prochaines semaines, vous parler de chacune de ces étapes à partir de ma propre expérience.

Peut-être qu'ainsi nous arriverons à ''dégeler'' un peu d'espace afin que le merveilleux courant des relations humaines puisse circuler.

dimanche 15 février 2009

Un peu de chaleur humaine

Il n'est pas question et il n'a jamais été question que les rencontres par le WEB telles que nous les proposons remplacent les rencontres réelles. Elles contribueront plutôt à les enrichir et à les prolonger.

Notre projet est lancé et nous souhaitons ainsi faire partie de l'élaboration de la nouvelle culture du WEB. Nous voulons constituer une communauté virtuelle visant l'échange, l'ouverture, la découverte et la coopération.

Nous croyons qu'il sera possible de créer des relations ''en ligne'' entre les personnes de ce groupe et que ces relations, riches et stimulantes, permettront le développement d'alliances et d'amitiés qui pourront se nouer de la même manière qu'avec des personnes qui pourraient converser en temps réel et en présence physique. Pour avoir moi-même participé depuis quelques années à une communauté virtuelle, j'ai pu constater que de telles amitiés sont possibles.

Le projet démare lentement. Il n'y a actuellement que 2 personnes inscrites et quelques réactions inscrites sous forme de commentaires au premier message publié. Le groupe de discussion, qui est notre communauté réelle, en était à sa 3e rencotre la semaine dernière. Il m'est difficile de savoir où ils en sont car je n'ai pas eu de feedback de cette rencontre, étant moi-même absente.

Nos rencontres ont lieu chaque jeudi de 19H30 à 21H30 au Centre Communautaire Lajeunesse (7378 Lajeunesse, voir le local au tableau à l'entrée), à 5 minutes du métro Jean-Talon, au coeur de Montréal. Il y a aussi un stationnement disponible derrière l'édifice pour ceux qui viennent en auto.

Si vous avez le goût de participer sous une forme ou sous une autre à nos échanges n'hésitez pas à laisser un commentaire. Dans le prochain message, j'inviterai les participants à un tour de table virtuel où chacun pourra exprimer ce qui le motive à ce joindre à un groupe de discussion.

Merci Patrick, Mathieu et Joelle d'avoir mis un peu de chaleur humaine par votre présence dans cet espace.

dimanche 1 février 2009

Premiers pas


Quelques personnes viendront peut-être, dans les prochains jours, lire ce 1er message du blog des relations humaines. Elles viendront parce qu'elles y ont été invité et que le moment leur a semblé propice pour suivre un nouveau sentier menant vers de nouveaux horizons.

Notre idée est toute simple: ouvrir une plate-forme pour les gens qui sont intéressés à échanger sur différents aspects des relations humaines.

Le projet est en construction. Il est initié par les participants du groupe de discussion du jeudi (groupe faisant partie des activités de JASS et qui a maintenant 20 ans d'existence). Il migrera probablement sous une autre forme sous peu, mais nous tiendrons nos lecteurs informés de toutes les étapes de sa création.

Nous aimerions que le groupe de discussion du jeudi soit mieux connu. Vous pouvez avoir une description de notre groupe, de son mode de fonctionnement et des thèmes de discussion proposés à chaque semaine en allant à : http://norja.net/jass/html/activites_diverses et en cliquant sur JEUDI.

Nous aimerions aussi, pour ceux qui ne peuvent assister à nos rencontres mais sont intéressés par nos thèmes de discussion, offrir des contenus sur le WEB. C'est ce que nous tentons actuellement d'organiser sous la forme d'un blog où plusieurs personnes pourraient publier des billets et recevoir les commentaires de leurs lecteurs.

Faites nous part de vos commentaires et suggestions.

Merci et à la prochaine.


Solange St-Pierre pour le groupe des beaux jeudis de JASS